Lèvres humides pour hommes mûrs

Catégories : TV trans travesti sissy
il y a 4 ans

J’ai 19 ans, je m’appelle Jean-Louis. J'aime les hommes, surtout ceux qui ont passé la cinquantaine. À vrai dire, je n'ai jamais eu de relation avec un homme de mon âge. Cela ne me dit rien. Ce que je préfère, ce sont les hommes aux tempes grisonnantes, aux traits marqués...

Ce sont souvent de riches industriels qui apprécient les éphèbes. Parfois je me fais payer. La plupart du temps, je me contente de cadeaux. En fait, je serais prêt à faire cela pour rien, pour le plaisir et je ne me considère pas du tout comme un tapin. Ce que j'aime surtout, c'est les pipes. Je suis un passionné de fellation. J'en ferais à longueur de nuit tellement j'aime ça. Et lorsque mes lèvres se déchaînent sur une belle bite noueuse, j'adore recevoir mon foutre-récompense.

L'autre nuit, j'ai été plus que comblé. J’étais invité chez Armand, un de mes amants préféré. Il est collectionneur d'art et s'occupe d'une galerie. Il a beaucoup d'argent et il adore recevoir des amis qui partagent ses mœurs. Pour cette soirée là, il avait décidé que je serai la Reine de la soirée. Je m'étais maquillé et travesti comme il aime que je le fasse.

Juché sur mes talons hauts, vêtu d'une robe en cuir et d'une perruque blonde, je suis entré dans le salon où m'attendaient les invités. Ils étaient quatre. Tous avaient dépassé la cinquantaine. Autant dire qu'ils me faisaient tous envie. Ça tombait bien car tous étaient venus pour apprécier mes talents buccaux. Armand avait vanté mes qualités de suceur et je me devais de justifier ma réputation.

Les lèvres enflées, la gorge sèche, je me suis mis à quatre pattes, rampant entre les fauteuils de ces messieurs. L'un d'eux m'a appelé : “Hep viens la petit, viens voir ma queue comme elle est belle.” Je me suis dirigé vers la voix et, sans regarder le visage de son propriétaire, j'ai commencé à branler puis à sucer la queue qui bandait mou entre ses jambes. Au début mes caresses furent inefficaces. Il arrive souvent que les hommes d'un certain âge éprouvent du mal à bander. Loin de me décourager, j'ai accentué la pression de mes lèvres, tournant ma langue sur la chair ridée. À ma grande fierté, la bite du vieux s’est mise à durcir, à enfler. D'une main, j'avais déjà commencé à “préparer” mon prochain client, lui massant la bite entre mes doigts serrés. Dès que j'aurais fait juter celle qui m'occupait les lèvres, je m'occuperai de celle là.

Le silence régnait dans le salon. Je savais que tous les regards étaient braqués sur moi. Armand avait offert un cigare à ses invités pour les faire patienter en attendant leur tour et la pièce sentait le tabac. Dans mon dos, j'ai entendu un de ces messieurs se lever et venir me caresser les fesses. Il a soulevé ma robe en cuir, écarté mon string. Son gros doigt m'a parcouru la raie puis s'est appuyé sur mon anneau. Je me suis cambré avec complaisance pour faire comprendre que j'appréciais ce toucher.

J'ai entendu la voix d'Armand qui disait : “Vous pouvez l'enculer vous savez, il adore ça ce petit vicieux.” Pendant tout ce temps j'avais poursuivi ma pipe et je sentais que l'homme était à bout de résistance. Bientôt il m'honorerait la bouche de son foutre. Cela s'est produit exactement au moment où l'homme dans mon dos me f o r ç a i t l'anus. Bien entendu, je suis sûr qu'il l'a fait exprès. C'est pour ce genre de perversion que j'aime les hommes mûrs. Mon amant, j'ignorais lequel me prenait a commencé à me limer lentement mais puissamment.

Moi, la bouche déjà remplie de foutre, j'ai entamé ma seconde pipe. J'espérais que cette seconde pine giclerait avec autant d'abondance que la première, que son foutre aurait aussi bon goût. J'avais un peu de mal à me concentrer dessus car la pine qui me labourait l'anus avait vraiment une f o r c e hors du commun. Où alors est-ce à cause de la situation que je trouvais très v i o l emment érotique. En tout cas, j'avais vraiment envie de jouir. Je sentais que mon cul allait exploser de plaisir. Ça allait venir très vite, très fort. J'ai pris un pied d'enfer. Surtout que le mec que je pompais m'a largement tapissé le palais de son jus blanc et que celui de derrière m'a généreusement rempli.

À ce moment de la soirée, je suis entré dans un état second, une sorte de béatitude. Aucune partouze, aucune nuit d'amour avec un mec ne m'avait mis dans un tel état. Surtout qu'il me restait encore un mec à découvrir, sans compter Armand que je devais remercier, que je devais faire jouir.

Jean-Louis

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